750 grammes
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29 juillet 2017 6 29 /07 /juillet /2017 17:42
A Belcastel, des vacanciers curieux mais ô combien sympathiques!
A Belcastel, des vacanciers curieux mais ô combien sympathiques!A Belcastel, des vacanciers curieux mais ô combien sympathiques!

De bien curieux visiteurs ont envahi avec beaucoup de charme notre joli village. Un peu partout dans les calades, au bord de l'eau ou au restaurant du Vieux Pont pour les plus gourmands, les créations de Nathalie Andrieu s'exposent durant le mois d'août sur une idée de Belcastel Patrimoine. 

"Il faut probablement l'émerveillement d'un regard qui ne renie pas son enfance pour restituer avec fraîcheur et douceur une harmonie de formes, une ampleur de mouvements".

Venez nombreux apprécier les sculptures de Nathalie ANDRIEU.

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24 juillet 2017 1 24 /07 /juillet /2017 15:45
Son et lumière à Belcastel
Son et lumière à BelcastelSon et lumière à Belcastel

Comme chaque année le spectacle de son et lumière proposé ce dimanche 23 juillet par le Comité des Fêtes de Belcastel a été un véritable enchantement. Le village et le château ont été particulièrement bien mis en valeur par FWFconcept grâce aux jeux de lumières, feux d'artifice et laser. De très nombreux spectateurs ont pu admirer ce spectacle et participer à la retraite aux flambeaux. A l'année prochaine. 

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16 juin 2017 5 16 /06 /juin /2017 08:37

 

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28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 20:05

De chez Jonathan et Nathalie, nos maraîchers bio de Belcastel, les légumes primeurs sont arrivés : pois gourmands, carottes et radis glaçons se mêlent aux coquillages et à la sarriette. Les escargots, quant à eux  s'accompagnent d'artichauts, de boudin de porc noir de Bigorre, de blanc de sèche et de bourrache; A déguster en ce moment...

pois gourmands, petits pois, carottes et radis glaçons      escargots, artichaut et bourrache
pois gourmands, petits pois, carottes et radis glaçons      escargots, artichaut et bourrache

pois gourmands, petits pois, carottes et radis glaçons escargots, artichaut et bourrache

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1 avril 2017 6 01 /04 /avril /2017 07:42

Lors de la conférence de presse de printemps , les sœurs Fagegaltier ont annoncé de grands changements pour le restaurant du Vieux Pont.

Nicole rejoint l’équipe dynamique de la salle et sera désormais en charge de l’accueil des clients.

Quant à Michèle , elle intègre la sympathique brigade de cuisine. Des projets et des idées plein la tête,  elle compte revisiter à sa manière les grands classiques de la cuisine aveyronnaise : brochettes de répounchous, sorbet de chou farci, espuma de tripous, fritures de poissons en chocolat…

Pour vos réservations, le numéro de téléphone reste inchangé et en cette saison le restaurant est ouvert du mercredi au dimanche midi.

Un vent de nouveauté souffle sur Belcastel !
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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 09:37

Nous remercions Monsieur Philippe Couderc pour son bel article publié dans la revue Challenges N°513 du 16 mars 2017.
Il y dresse le portrait de cinq cuisinières à la personnalité aussi haute en couleurs et en saveurs que leur cuisine: Anne-Sophie Pic la grande Dame, Flora Mikula la femme forte, Stéphanie Le Quellec l'aventurière, Fatéma Hal l'intellectuelle et Nicole Fagegaltier, la France tranquille.
Retrouvez son article complet sur http://fliphtml5.com/hkfo/ltjk/basic/74-76

 

 

 

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16 mars 2017 4 16 /03 /mars /2017 14:41

Soleil radieux et douceur des températures, cette année le printemps arrive avec une semaine d'avance.

Le jaune est une des couleurs forte du printemps . On le retrouve dans les jonquilles (très présentes à Belcastel), les forsythias... mais aussi dans les plats du restaurant du Vieux Pont pour être en communion avec cette belle saison !

C'est le printemps
C'est le printempsC'est le printemps
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7 mars 2017 2 07 /03 /mars /2017 16:55
Nicole Fagegaltier: «Oui, j'ai du caractère, il en faut pour réussir»

Gastronomie

Nicole Fagegaltier: «Oui, j'ai du caractère, il en faut pour réussir»

 

Couverture

Après sa trêve hivernale, la chef étoilée Nicole Fagegaltier s'apprête à rouvrir le restaurant du Vieux Pont, samedi prochain, à Belcastel en Aveyron. Une maison chère à son cœur, qu'elle a repris en 1983, pour y mitonner une gastronomie d'excellence.

 

Nicole Fagegaltier, Chef * au restaurant du vieux pont à Belcastel

Une paire de lunettes rondes sur le nez, Nicole Fagegaltier a le sourire généreux, l'écoute attentive, et la parole réfléchie. Le temps de préparer un thé vert et elle prend place autour d'une table, face au pont de pierre, sous lequel coule l'Aveyron, paisiblement.

 

Depuis quand êtes-vous étoilée au guide Michelin ?

Depuis 1991, ça fera 26 ans cette année.

 

Est-ce un challenge de la conserver ?

Je dirais que je ne pense pas au guide Michelin tous les jours, je pense aux clients qui nous font l'honneur de s'asseoir à notre table. C'est comme ça que l'étoile est reconduite : il faut satisfaire avant tout les gens qui choisissent de dépenser une certaine somme d'argent pour venir dans un restaurant comme le nôtre. Le guide Michelin, c'est une reconnaissance pour les restaurateurs, c'est énorme d'avoir une étoile, j'en suis très heureuse et j'espère qu'on la méritera encore longtemps.

 

Vous n'en convoitez pas une autre ?

Disons que ce n'est pas dans notre objectif de travailler à tout prix pour le Michelin. On fait de notre mieux. Les deux et trois étoiles sont de très beaux établissements, ici, on est un peu limité par la place.

 

Ici, vous travaillez en binôme avec votre mari, Bruno Rouquier ?

C'est ça. Et ma sœur est en salle.

 

Travailler en famille, c'est important ?

Oui. Au départ, c'est moi qui ai repris le restaurant parce que je souhaitais rester là. Puis j'ai été championne de France du dessert en 1986, et le restaurant a pris une autre tournure, il y a eu plus de monde. Me sentant un peu débordée, j'ai pensé que celle qui pouvait le plus m'aider, c'était ma sœur. Elle connaissait la restauration par ce que nous avaient appris nos parents qui tenaient une modeste auberge de campagne et elle avait le sens de l'accueil. Elle est partie pendant plusieurs hivers en Angleterre pour maîtriser l'anglais, elle a fait une formation dans le vin même si depuis on a un sommelier. C'est comme cela qu'on a eu l'étoile au Michelin.

 

Et votre mari ?

Il est arrivé quelques années après. On était déjà deux sœurs, rajouter le mari, ce n'était pas évident. Mais cela s'est très bien passé, depuis 20 ans, on travaille tous les trois ensemble, chacun dans son domaine.

 

Pourquoi trouve-t-on si peu de femmes étoilées ?

C'est sûr que ce n'est pas une question de talent. Beaucoup de jeunes femmes qui ont des aptitudes pour ce métier démissionnent car ce n'est pas toujours évident de concilier ce métier avec une vie de famille. Mais on progresse, on est une quinzaine de femmes à avoir une étoile au Michelin, et c'est toujours peu par rapport aux hommes. Dans les écoles hôtelières, il y a de plus en plus de femmes. Quand j'ai commencé, il était difficile de trouver un stage en cuisine.

 

Pourquoi ?

À l'époque, les grosses brigades n'avaient que des garçons. Ils devaient penser que les filles ne tiendraient pas le coup physiquement et psychologiquement. Après, ils se sont rendu compte qu'elles étaient très adroites, qu'elles avaient une autre sensibilité. Maintenant les hommes ont évolué, dans les cuisines, les mentalités ont changé. Ils se rendent compte qu'il est intéressant d'avoir des filles. Donc il y en a de plus en plus.

 

Le plus difficile pour une femme dans ce métier ?

C'est toujours de concilier le travail et la vie de famille car on travaille le soir et les week-ends. Pour diriger une équipe, une fille peut y arriver, elle est aussi fine qu'un garçon.

 

Qu'est-ce qui fait votre avantage par rapport à un homme ?

La sensibilité. Je le vois avec mon mari qui est beaucoup plus pratique. C'est souvent moi qui ai l'idée de la recette et lui qui la met en place. Il est plus pragmatique et cartésien que moi.

 

Vous êtes plus créative ?

Oui, je le pense, parce que je reste toujours en éveil en visitant des jardins, des musées, et en lisant. Je m'intéresse à un tas de choses qui nourrissent ma cuisine. Ne serait-ce qu'admirer la nature, les saisons, ça alimente mon imagination.

 

Ici, le goût de la cuisine vous a été transmis de mère en fille ?

Tout à fait. C'était ma grand-mère qui cuisinait puis ma maman. Les deux faisaient une cuisine très traditionnelle : beaucoup de fritures de la rivière, le poulet sauté, le chevreuil à l'oseille, le chou farci,…c'était une auberge. Je l'ai fait sacrément évoluer.

 

Vous avez formé Cyril Lignac ?

Il a voulu faire son BEP cuisine chez nous. Je suis un peu sa deuxième maman, on est resté très proches. C'est quelqu'un de vraiment gentil, il a de la reconnaissance, il n'a jamais oublié qu'il était venu ici. On a su lui transmettre ce côté familial, ce bon sens paysan dont je suis très fière.

 

Vous avez beaucoup de caractère ?

Oui, ça fait partie des choses qui permettent de réussir, de s'imposer, mais je le fais avec douceur. Je ne suis pas une têtue. Mais oui du caractère j'en ai, on me l'a dit depuis le début. Au départ je n'étais pas faite pour travailler avec mes mains. Mais le côté opiniâtre d'Aveyronnais m'a permis d'y arriver.

 

Qu'est-ce qui fait le succès durable de ce restaurant dans ce petit village ?

Le travail de tous les jours et de tout le monde. Je suis née dans ce village et j'avais envie d'y rester non pas parce que le pont et le château y sont jolis mais parce que c'est ma vie.

 

Votre mari n'est-il pas jaloux de votre notoriété ?

J'étais là la première, j'ai gagné quelques concours, la notoriété est tombée sur mon nom. Si la maison tourne bien c'est aussi grâce à lui.

 

Que ferez-vous mercredi 8 mars, journée internationale de la femme ?

J'irai au marché de Rodez à 5 heures du matin, et je commencerai à relancer la maison en vue de l'ouverture du samedi et l'après-midi, j'irai à la gym.


 

Recueilli par Sophie Vigroux

Retrouvez l'article original:

http://www.ladepeche.fr/article/2017/03/05/2529490-nicole-fagegaltier-oui-ai-caractere-faut-reussir.html

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11 janvier 2017 3 11 /01 /janvier /2017 22:36

En ce début d'année 2017,l'hiver s'est installé à Belcastel. -8°,-9°pendant plusieurs jours ; Il n'en fallait pas plus pour que l'Aveyron gèle et donne ainsi une autre vision de notre village....en attendant la neige, peut-être !

Début d'année glacé à Belcastel
Début d'année glacé à Belcastel
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24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 11:00
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ATTENTION NOUVEAU BLOG !!!

Depuis l'été 2018, ce blog est remplacé par le site www.fagegaltier.com.

Merci de nous y retrouver

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